Le chômage des jeunes pourrait être un handicap sérieux à la croissance du pays s’il continuait à augmenter. Le pays a lancé de multiples politiques qui pourraient donner des fruits dont la mise en place des facilités pour les investisseurs tant nationaux qu’étrangers.

Les jeunes qui terminent leurs études, après la fête, doivent très rapidement se désillusionner en entrant dans les rangs des jeunes diplômés chômeurs.

Le taux de chômage de semble pas très élevé pour le moment car il est inférieur à 5% mais pourrait s’accroitre si les politiques en place ne donnaient pas les résultats escomptés.

La politique d’auto création d’emploi ne permet pas pour le moment de résorber le chômage dans le pays car nombreux sont ceux qui continuent à rechercher où se faire caser par manque de moyens ou par peur du risque.

Au niveau de l’éducation, avec la promotion de l’enseignement technique et des métiers, une bonne partie de la jeunesse pourrait se trouver une activité génératrice de revenus sans devoir attendre longtemps.

Pour une population à majorité jeune, avec plus de 40% ne dépassant pas 15 ans, le chômage de cette tranche d’âge jugée active pourrait être une catastrophe économiquement.

Pour arriver à maintenir la croissance, l’investissement est une voie incontournable. Les mesures ont été prises en vue d’inciter les détenteurs des capitaux à entreprendre des actions de production.
Face à la démographie galopante, l’on devra de plus en plus se tourner vers l’investissement dans des entreprises employant une grande main d’oeuvre comme la production industrielle.

Le Rwanda fait une course contre la montre pour mettre en place les infrastructures de base comme les sources d’énergie.

Devrait suivre ensuite le lancement de grands projets d’investissement dans le secteur industriel pour éviter l’oisivité des jeunes. Mais il faudra qu’une main d’oeuvre qualifiée et abondante soit disponible sur le marché de travail.

La Rédaction