https://www.traditionrolex.com/25 Chanteur Konshens : ravi d’avoir des sympathisants au Rwanda

Chanteur Konshens : ravi d’avoir des sympathisants au Rwanda

Par 2016-01-11 13:09:22

[caption id="attachment_2409" align="aligncenter" width="803"]Le chanteur jamaïcain Konshens (Photo archives) Le chanteur jamaïcain Konshens (Photo archives)[/caption]


 

Il s’appelle Konshens, son vrai nom est Garfield Delano Spence, c’est un chanteur de nationalité jamaïcaine, artiste incontournable et talentueux pour tous les fans de dancehall. Lors de sa visite au Rwanda dernièrement pendant la soirée nommé "East African Party", le chanteur Jamaïcain Konshens déclare être ravi de recevoir un bon accueil au Rwanda et d’avoir des nouveaux sympathisants de sa musique de dancehall.

Konshens est son nom artistique, mais son vrai nom est Garfield Delano Spence, il a vu le jour le premier novembre 1985 à Kingston en Jamaïque, il a grandi à Sherlock, un quartier de Kingston. Il a passé son enfance à apprécier la musique comme tout le monde, sans douter qu’il percera un jour dans le domaine de la musique, même si son entourage avoua être très surpris, lorsqu’il commença à produire des chansons.

Dans ce cadre, le chanteur Jamaïcain Konshens a été invité au Rwanda dernièrement, dans une soirée de fin d’année 2015 nommée "East African Party". Au cours de cette soirée, le chanteur Konshens avec d’autres musiciens Rwandais (dont King James, Bruce Melody, Urban Boyz,) ont animé une grande foule qui les attendait impatiemment au Petit stade Amahoro, plus particulièrement le musicien jamaïcain Konchens qui pour la première fois visite le pays des mille collines.

"Au cours de mon séjour au Rwanda, je me suis ravi d’un accueil chaleureux que manifestent les Rwandais, plus particulièrement, l’esprit de sympathie qu’ils ont montré à l’égard de mes chansons, lors de la soirée de "East African Party", qui a eu lieu à la veille du nouvel an 2016. Actuellement, je trouve que les Rwandais en général et les jeunes en particulier, font partie de plusieurs sympathisants du monde, à la musique de dancehall" ; indique le musicien jamaïcain Konshens.

Certaines de ses chansons les plus adorées par la plupart de ses fans au Rwanda et ailleurs dans le monde sont telles que No retreat no Surrender, Do Sumn, Winner, Rasta Impostor, Good Girl gone bad, Gal dem a talk, etc.

Ensuite, pendant sa visite au Rwanda, le musicien jamaïcain n’a pas caché ses sentiments d’appréciation à la beauté angélique des femmes et filles rwandaises, qu’il arrive même à déclarer être au premier rang de beauté sur le continent africain.

Parcours musical du chanteur jamaïcain Konshens

Il fait ses débuts au sein d’un duo créé avec son grand frère Delus, baptisé "Sojah". En 2005, ils rencontrent un grand succès, particulièrement au Japon, avec leur premier titre "Pon Di Corner" sur le Guilty Riddim, produit par Cash Flow.

Ils ont fait une importante tournée sur le territoire nippon et ils ont été très appréciés. L’année suivante, ils ont fait sortir encore un album appelé "Sons of Jah" et ils sont repartis encore en tournée, précise le site de reggae.fr.

De retour en Jamaïque, ces deux frères ont décidé d’essayer à des carrières solos, en travaillant toujours ensemble. A l’époque, Konshens aimait la musique mais hésitait encore à tout laisser tomber pour se lancer entièrement dedans, dit ce site.

C’est ainsi que les premières demandes de dubplates (temps en studio) arrivent, et quand il voit que le prix d’une dubplate enregistrée en deux minutes équivaut à son salaire gagné en un mois, les derniers doutes de Konshens se dissipent. C’est grâce à l’un de ses amis proches qui lui présente à Natural Bridge Records, qu’il eut un sinueux décisif, indique le site de reggae.fr.

Cependant en 2008, le chanteur est propulsé sur le devant de la scène jamaïcaine avec un gros hit "Winner" qu’on entendait en boucle aux quatre coins de l’île jamaïcaine et plus loin encore, et d’autres titres bien accueillis comme "Rasta Imposter". C’est alors que Konshens continue sa route en 2009, avec un gros hit en duo avec Tarrus Riley "Good Girl Gone Bad", dit le site ci-haut mentionné.

Si Konshens a toujours délivré des sons aux thèmes plus conscients ou de société, ce sont bien ses "gyal tunes" qui apportent le plus de succès à Konshens. "Gal Dem a Talk" prépare le terrain dès 2010, puis l’artiste explose avec les hits "Gyal a Bubble" et "Stop Sign" en 2012. Avec ces titres, Konshens devient particulièrement apprécié en Europe.

Le premier album de Konshens "Mental Maintenance" voit aussi le jour en 2012, depuis ce temps là, Konshens a travaillé avec les plus grands producteurs et a posé régulièrement des tunes efficaces sur les one riddims, ajoute ledit site.

Il est à noter que l’année 2013 aura été marquée par deux de ses featurings très différents, "Pull up to mi bumper" avec J Capri et "We no worry bout them" avec Romain Virgo. A la tête de son label Subkonshus depuis 2010, Konshens n’a pas fini de livrer du bon son, son nouvel album, ”From The Hotel Room”, est réalisée en 2015.

Chantal Namukunzi


 

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