Chantal Namukunzi

 

[caption id="attachment_267" align="alignnone" width="768"] Michel Nkurunziza[/caption]

D’une façon générale, le service de transport en commun sur la ligne de Kimironko-ville serait mieux qu’ailleurs comme sur celle de Remera, Kicukiro et Kanombe. Le problème se pose pendant les heures de pointe, précise M. Michel Nkurunziza.

La ligne Kimironko-ville, poursuit-il, dispose d’un nombre suffisant de bus par rapport à d’autres lignes. D’habitude, il faut entre 25 à 35 minutes pour quitter le point de départ vers celui d’arrivée (ville-Kimironko ou Kimironko-ville), sauf pendant les heures de pointe (le matin et le soir) où on peut trouver difficilement le bus ou faire face à un embouteillage en route.

Sur la ligne Kimironko-ville, on utilise les bus de marque Toyota Coaster où l’on peut s’asseoir confortablement, se montre Nkurunziza satisfait. Il ajoute que ces bus disposent d’un nombre de sièges bien déterminés et personne ne peut rester debout car aucun espace ne le permet, explique Nkurunziza.

Pour résoudre le problème qui se pose au moment des heures de pointe, entrainant souvent des retards au service, Nkurunziza recommande que les sociétés de transport en commun mettent en place des stratégies de renforcement de leur charroi spécialement pour le déplacement des travailleurs et des élèves comme c’est le cas pendant la rentrée scolaire.

Ensuite, il demande encore à ces sociétés de transport en commun de renforcer ce service en achetant suffisamment de bus, tout en formant leurs employés pour éviter le désordre qui, d’une manière ou d’une autre peut être à la base des retard en chemin, a-t-il conclu.